Bonjour, Je vous remercie pour votre question. Les activités accréditées sont identifiées dans ce document.   Si vous avez d'autres questions, ne pas hésiter à utiliser le forum à nouveau. Merci pour votre collaboration Philippe

Bonjour, Je vous remercie pour votre question qui mérite clarification. Effectivement, l'orientation à la réalité comme approche de communication quotidienne n'est plus recommandée pour les personnes atteintes de troubles neurocognitifs majeurs aux stades modérés et avancés. Cette approche peut générer de l'anxiété chez ces personnes, particulièrement si elles ne sont plus en mesure de comprendre ou de retenir l'information demandée. De même, il n’y a aucun enjeu médical ou risque pour la santé à cesser cette pratique. Bien au contraire, l'adoption d'approches plus adaptées et bienveillantes comme la validation, la diversion et des stratégies de communication centrées sur la personne permet de maintenir un climat apaisant et de favoriser le bien-être des résidents. Par exemple, plutôt que de poser des questions qui peuvent être perçues comme un test, il est préférable d’amorcer la conversation avec des phrases informatives :  « Bonjour M. Côté, j’espère que vous avez passé une bonne nuit. Aujourd’hui, il fait beau dehors, aimeriez-vous qu’on ouvre les rideaux? » Merci Philippe

On va espérer que quelqu'un puisse vous répondre. À bientôt Philippe

Bonjour, Peut-être qu'elle a un nom, mais je ne suis pas au courant. Désolé Philippe

Bonjour, je vous remercie pour votre question. Si je comprends bien, vous aimeriez trouver un formateur pour enseigner sur l’organisation du travail, des préposés aux bénéficiaires?

Salut Colette, Voici ma réponse audio: Au plaisir Philippe

Bonjour Pour connaître la durée de toutes les formations, il suffit de cliquer sur l'onglet : Description des formations Merci Philippe

Tous les CISSS et CIUSSSS sont déjà abonnés. Vous avez donc déjà accès à ma plateforme

Les formations suivantes sont accréditées: Formation en ligne 1.01 – Prendre soin d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer : comment composer avec ses problèmes de mémoire et ses comportements inattendus  Formation en ligne 1.04 – Cible - Plan Alzheimer - soins à domicile et GMF (Maladie d’Alzheimer et troubles neurocognitifs majeurs : dépistage, surveillance clinique et interventions à domicile et en GMF Formation en ligne 2.01 - L’examen clinique de l’état mental dans le contexte des troubles neurocognitifs majeurs Formation en ligne 2.03 – L’examen clinique sommaire de l’aîné lors de situations complexes Formation en ligne 2.04 – L’évaluation infirmière et l’examen clinique complet Formation en ligne 2.12 – L’examen clinique cardiaque en situation aiguë et lors du suivi d’un aîné atteint d’insuffisance cardiaque Formation en ligne 2.14 - L'examen clinique pulmonaire en situation aiguë et lors du suivi d'un aîné atteint d'une MPOC Formation en ligne 2.15 - L'examen clinique de l’abdomen de l’aîné    Formation en ligne 3.01 - Les chutes: dépistage, prévention et évaluation post-chute Formation en ligne 3.18 – Déprescription des médicaments: un rôle pour la profession infirmière Merci pour votre intérêt. Philippe

Bonjour, Voici ma réponse audio: Merci Philippe

Bonjour, Merci beaucoup pour votre question qui illustre bien la complexité des soins aux aînés, particulièrement en présence de troubles neurocognitifs majeurs (TNCM) et de comportements de résistance aux soins. Dans ce cas, il est important de bien comprendre pourquoi la prise complète des signes vitaux est exigée malgré le refus du résident. Si cette exigence est liée aux risques de dépression respiratoire, il faut savoir que certains paramètres, comme l’état de conscience et la fréquence respiratoire, sont des indicateurs particulièrement sensibles de l’effet dépressif du médicament sur le système nerveux central. Ils sont aussi faciles à détecter. Ainsi, après réflexion clinique avec vos collègues, il pourrait être pertinent d’adapter l’évaluation en priorisant ces éléments clés plutôt que d’exiger systématiquement une prise complète des signes vitaux, notamment la pression artérielle ou la température, qui sont secondaires dans ce contexte précis. Les soins aux aînés sont toujours parsemés de compromis… Cela dit, chaque situation est unique et il est essentiel de vous fier aux informations complètes que vous détenez sur le résident et ses proches, tout en exerçant votre jugement clinique. Vous devez accueillir mon point de vue avec beaucoup de réserve, car je ne suis pas au courant de toutes les variables… Bonne réflexion Philippe

Bonjour, Vous posez une bonne question! Les quiz existants ont été créés, il y a plusieurs années. Je vous suggère de contacter Marie Beaulieu. Elle semble avoir créé une version plus récente: Quiz factuel sur le vieillissement – Chaire de recherche sur la maltraitance envers les personnes aînées Désolé de ne pas être plus aidant. Philippe

Bonjour, Voici ma réponse! À bientôt Philippe

Oui, plusieurs formations sont accréditées. Voir ce document: Merci Philippe

Bonjour, Le terme utilisé maintenant est celui-ci: fragilité Voir FRAGILITÉ Dans le chapitre 1 de ce livre, on en parle également: Soins infirmiers aux aînés en perte d'autonomie, 3e éd. Voir aussi ce document: Concept de fragilité en gériatrie Un autre en anglais: Frailty | Global Frailty Network J'espère que cela vous aide dans votre recherche. N'hésitez pas à poser d'autres questions. Philippe

Oui, absolument. Elle est d'ailleurs déjà intégrée dans Gustav et dans Symo. Qui plus est, je travaille avec d'autres compagnies pour la rendre encore plus facile à réaliser avec un assistant vocal et l'intelligence artificielle (Virtuose technologie). Aussi, à titre de rappel, il y a une formation sur celle-ci disponible dans ma plateforme. Merci pour votre question Philippe

Bonjour, Je vous remercie pour votre question. L'approche recommandée dans un tel cas est celle de la validation. Cette dernière est expliquée dans la formation suivante: 1.01 : Prendre soin d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer: comment composer avec ses problèmes de mémoire et ses comportements inattendus. Voir la vidéo H. Merci Philippe

Bonjour, Il est généralement contre-indiqué d'utiliser des médicaments psychotropes (comme les benzodiazépines et les antipsychotiques) de manière préventive, même en contexte d'anxiété ou d'opposition au bain chez une personne atteinte d'un trouble neurocognitif majeur. Ces médicaments ne sont pas recommandés pour des fins préventives dans la gestion des symptômes comportementaux et psychologiques de la démence. Voir : Usage optimale des antipsychotiques et prise en charge non pharmacologique des symptômes comportementaux et psychologiques de la démence (SCPD) chez les personnes atteintes de troubles neurocognitofs majeurs (TNC) qui résident en CHSLDs   En revanche, il pourrait être justifié d'utiliser des analgésiques avant les soins d’hygiène si la personne ressent de la douleur lors de la mobilisation. Cela dit, il est également crucial de remettre en question la manière dont le soin est administré. Si le bain traditionnel suscite de l'agitation, opter pour une méthode alternative comme le bain spa ou le lavage à la serviette au lit pourrait être une solution plus adaptée. Finalement, comme vous le dites, il faut toujours privilégier des approches non pharmacologiques et respectueuses des besoins et du confort de la personne. Merci pour votre question Philippe

Bonjour, Vous décrivez une situation typique dans laquelle une personne présentant un trouble neurocognitif majeur (TNCM) conserve une capacité de communication claire tout en manifestant un déni de sa condition. Cette période peut être particulièrement complexe à gérer en raison des défis liés au jugement altéré et à la préservation apparente de certaines habiletés cognitives. Voici quelques points qui pourraient vous guider : 1. Évaluation approfondie des besoins Avant tout, il est essentiel de bien comprendre les causes de ce comportement. Une évaluation approfondie peut aider à déterminer les besoins compromis de la personne. Par exemple, est-ce une question de dignité, de peur ou de stress lié à la perte de contrôle ? Ces éléments doivent être analysés pour adapter l'intervention. (voir cette vidéo) 2. Ne pas insister immédiatement Durant cette phase, il est important de ne pas insister de façon répétée pour des soins d’hygiène, particulièrement lorsque la personne est continente et ne présente pas de risques immédiats. Relâcher la pression temporairement peut éviter d’augmenter le stress, tant pour la personne que pour l’équipe soignante. Donner quelques jours de répit peut parfois permettre une reprise des soins avec moins de résistance. 3. Utilisation des approches non confrontantes Avant de recourir à des stratégies comme le "mensonge blanc", assurez-vous que l’équipe a exploré d’autres approches, notamment : * Validation * Diversion * Stratégie décisionnelle 4. Réflexion sur le mensonge blanc Concernant l’approche du "médecin fictif", il est important de considérer son efficacité tout en tenant compte des valeurs éthiques et de la confiance envers l’équipe. Si cette stratégie fonctionne sans générer de méfiance ou d’anxiété, elle peut être acceptable dans certains cas, surtout en l'absence d’alternatives efficaces. Cela dit, il faut être prudent pour éviter de compromettre la relation de confiance à long terme. Ses réactions à vos interventions vont vous aider à savoir si vous êtes dans la bonne voie ou non. 5. Soutien à l’équipe Enfin, il est crucial d’offrir un soutien continu aux membres de l’équipe. La gestion des situations de résistance peut être éprouvante, et les encourager à partager leurs expériences et à réfléchir collectivement à des solutions peut favoriser un climat de travail plus serein. Je vous encourage à considérer mes suggestions avec réserve, car je ne connais pas la personne et votre personnel. Vous êtes les meilleurs juges dans la situation. Merci pour votre question. Philippe

En passant, la grille de fragilité a été validée chez les aînés en général et chez ceux atteints de TNCM. Philippe